Mésaventure bisexuelle à Amsterdam

Catégories : LGBT Travesti Gay Lesbienne Trans Sissy GAYS bondage SM sodom, fist club
il y a 6 ans

Mésaventure bisexuelle à Amsterdam

Je suis bi, j'étais à Amsterdam avec une envie de sexe et de me faire prendre. Cela faisait bien longtemps que je ne m'étais pas offert un gros plan cul alors à être dans cette ville réputée, je me suis rendu naturellement dans un club SM gay pour draguer. Dans son p'tit short, mon fessier généra des regards prometteurs mais je n'étais pas très rassuré dans cette boite où zonaient des mecs d'une pointure très au-dessus de la mienne. Il y avait des soumis lope et des mecs tatoué en cuir avec des bras musclés deux fois plus gros que les miens.

Je me suis laissé draguer par le moins costaud de tous, nous avons sympathisé puis nous nous sommes retirés dans un coin sombre. Après plusieurs verres et attouchements j'étais chaud, le mec nommé Jack avait entrepris de me sucer, chose qu'il faisait d'ailleurs très bien..... Un des ses pots baraqués et bardé de cuir nous a rejoint, il avait l'air sympa. Quand il a sorti ses cachets et nous en a offert, au départ j'ai refusé puis j'en ai pris un pour voir. Un petit moment plus tard, j'étais comme bourré, sans pudeur et prêt à tout. Ils m'ont entrepris à deux pour mon plus grand plaisir en me caressant, en grignotant mes tétons gourmands. A quatre pattes sur un canapé, je me suis fait prendre par Jack en suçant son pot dont je ne me souviens plus le nom. A cet instant, j'étais heureux, comblé, je m'éclatais.

Un moment plus tard, je me suis retrouvé entravé sur un pilori, son pot me prenait à nouveau comme un fou sous les encouragements des voyeurs s'étant rapprochés. Pour que je plane encore plus, Jack m'a offert un peu de Popper et là, je me suis vraiment laissé aller. Quand ils ont entrepris de me claquer les fesses, je n'ai rien trouvé de mieux que de les agiter en gros gourmand que je suis. Ce n'est pas des coups que je voulais, mais que l'on me prenne encore. Sans m'en rendre compte, le p'tit minet gourmand que je suis, devenait le centre d'intérêt du moment, et là les choses ont commencé à déraper. Les coups sont devenus de plus en plus appuyés, pour faire taire mes cris, un mec m'a collé sa bite dans la bouche. Je l'ai sucé comme si pomper pouvait apaiser ma douleur en essayant de m'abandonner aux plaisirs SM.

Jack est venu et m'a fait prendre une autre pilule, un autre mec est venu se faire sucer. Les fesses pourtant en feu, je ne me sentais plus de dire stop, ou doucement. Dans ma tête, je ne pouvais plus que subir tout ce qu'ils voulaient me faire. Entravé sur mon pilori et dans les nuages, je me suis laissé mettre une grosse cagoule. Aveuglé et complètement disjoncté, mordre le tube passant entre mes dents me faisait du bien quand les coups devenaient vraiment trop forts. Une bite a commencé à f o r c e r mon anus déjà bien ouvert, elle était énorme, j'avais mal et implorait d'aller doucement sans qu'ils ne puissent m'entendre.

Un flot de liquide chaud et amer est arrivé dans ma bouche et là j'ai compris que mon calvaire allait vraiment commencer. J'ai soufflé, bavé, craché comme j'ai pu en remuant la tête pour dire non. On m'a crié de boire en me donnant des sauvages coups sur le dos, sous la douleur et les effets ravageurs de la bite me défonçant, j'ai cédé et j'en ai avalé un peu. De l'urine, il y en avait encore qui arrivait, je m'étouffais, respirer par le nez sous le latex devenait délicat car le niveau montait. Un mec s'est mis à me sucer pendant qu'un autre succédait à celui qui se prenait pour un marteau piqueur. Je n'en pouvais plus, mon anus enflammé demandait grâce, la peau de mes fesses devait être écarlate.

J'ai appelé Jack mais je n'ai eu aucune réponse. J'aurai aimé que cela s'arrête, qu'ils comprennent que j'avais mon compte de sensations et de plaisir, mais jamais cela ne s'arrêtait. Quand on ne m'enculait pas, on me fouettait. De temps en temps, un mec venait bisser, dans ce qui devait être une cagoule uro qui me ramenait son jus inexorablement.

Un connard a entrepris de me fister alors que je n'étais jamais arrivé à prendre une main. Il m'a fait un mal de chien mais n'y est pas arrivé. Pour clore son intervention, ce con m'a enfoncé sa canette dans le cul. Putain qu'il m'a fait mal. J'avais beau hurler, il poussait toujours, j'ai bien cru qu'il allait me déchirer. Après un moment de calme, un mec est venu pisser, même épuisé et écoeuré j'ai bu pour ne plus souffrir. La bouteille est sortie de mon cul toute seule puis tombée sur le sol sans se casser. J'étais à moitié endormi quand un mec venu se faire mon cul s'est mis à jouer les gros bras en tapant sur mes fesses. Si je sentais à peine sa bite, ses claques me donnaient l'impression de prendre feu.

Puis plus rien, hormis la musique non stop. Jack était parti en laissant en plan, entravé et offert aux gays après s'être offert une tranche de rigolade aux dépens du p'tit français. C'est un employé de la boite qui m'a libéré du pilori et de la cagoule uro du club en m'indiquant qu'il était l'heure de partir. Partir ?

Partir à poil sans mes vêtements, sans papier, sans rien ? Il a compris la situation immédiatement et allumer la lumière en grand. Nous avons trouvé mes fringues, pas mes papiers ni mon portefeuille. Il m'a demandé si j'avais une voiture ou un hôtel ? Devant mon état, plutôt que de me laisser partir en voiture, il m'a déposé à mon hôtel en rentrant chez lui.

..............................

Questions papiers, je m'en suis sorti en allant à la police qui ne m'a pas posé beaucoup de questions. Ma banque a accepté de me virer un peu d'argent dans une banque locale quand elle a reçu par fax le papier de la police et j'ai pu rentrer chez moi. Par chance, les tests que j'ai pratiqué à peine rentré se sont révélés négatifs, OUF !

Mon fessier porte encore les traces de mes mésaventures alors qu'il y a quinze jours que je suis rentré. Dans cette aventure, j'ai eu énormément de chance mais on ne m'y prendra plus.

Cette ressource n'a pas encore été commentée.
Publicité en cours de chargement